Carnet de route
Mont Blanc (ou presque!) par les Trois Monts
Le 17/05/2025 par Guillaume Bachelier
Épique.
Bah le moins que l’on puisse dire c’est que la météo ne s’était pas trompée : grand beau, bise de N forte et -20°C au sommet !! Mes doigts de pieds ne s’en sont pas encore totalement remis 
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Samedi, 8h. Nous voilà partis pour une classique des classiques pour clôturer la saison et conjurer quelques mésaventures passées avec Hervé et Laurent AG. Y’a pas, au sortir du téléphérique de l’Aiguille du Midi, l’accueil est toujours saisissant. Surtout sans les barrières de protection face aux 1300m de parois au-dessous ! Après un pique-nique dans un cadre à faire pâlir, séance de (ré)vision des manips de corde parce que, contrairement au raid en Haute-Maurienne, y’a de la crevasse et des rimayes dans le coin ! On aura presque utilisé la panoplie complète 
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Dimanche, 2h. Réveil. Ça pique. Grosse journée en perspective : 1400 m sur le topo (#la bonne blague n°1 ), mais surtout un parcours plus relevé que par la Voie Royale avec au menu les trois Monts, rien de moins ! Et sa série de difficultés techniques avec quelques passages (bien bien) raides, des rimayes à franchir, le tout en conditions polaires. Comme si l’altitude ne suffisait pas 
. Bilan des courses, on zappera les derniers 200 m qui nous séparent du toit du monde (ha non de la Yaute) pour cause de dents qui claquent et de genoux qui s’entrechoquent à couvrir le souffle du vent. Bon aussi parce qu’on n'a pas trop envie de rater la benne de 15h30 pour rejoindre la vallée ! Tadam, #la bonne blague n°2 : parce qu’il faut bien savoir qu’à Chamonix, quand tu prends un ticket RETOUR depuis le plan de l’Aiguille... ils t’indiquent l’heure de la dernière benne... qui prend des gens à la montée 
. Ça doit être le manque d’iode . Le bon coté des choses c’est qu’on aura eu le temps de siroter un verre avant la fermeture !
), mais surtout un parcours plus relevé que par la Voie Royale avec au menu les trois Monts, rien de moins ! Et sa série de difficultés techniques avec quelques passages (bien bien) raides, des rimayes à franchir, le tout en conditions polaires. Comme si l’altitude ne suffisait pas . Bilan des courses, on zappera les derniers 200 m qui nous séparent du toit du monde (ha non de la Yaute) pour cause de dents qui claquent et de genoux qui s’entrechoquent à couvrir le souffle du vent. Bon aussi parce qu’on n'a pas trop envie de rater la benne de 15h30 pour rejoindre la vallée ! Tadam, #la bonne blague n°2 : parce qu’il faut bien savoir qu’à Chamonix, quand tu prends un ticket RETOUR depuis le plan de l’Aiguille... ils t’indiquent l’heure de la dernière benne... qui prend des gens à la montée . Ça doit être le manque d’iode . Le bon coté des choses c’est qu’on aura eu le temps de siroter un verre avant la fermeture !
Au final, quelques moments de toute beauté, en particulier au lever du soleil, de la meringue en veux-tu en voilà (sans la partie collante au milieu ), un groupe qui a bien fonctionné (bon, pour la rapidité sur les manips, on repassera par contre 
) et un deuxième but météo avec Laurent AG. Faudra y retourner ! Qui a dit jamais deux sans trois ??? 
), un groupe qui a bien fonctionné (bon, pour la rapidité sur les manips, on repassera par contre ) et un deuxième but météo avec Laurent AG. Faudra y retourner ! Qui a dit jamais deux sans trois ???
Hervé, Laurent², Laureline et Guillaume
